Monday, October 01, 2007

the songs remains the same

Extrait paru sur cqfd.com... d'ou les références de pages.
Bon on était là tranquille à se défoncer la gueule comme des psychotiques notoires, en plein désequilibre, prenant tout ce qui se trouvait à portée de nez, de bouche, de veines, et même de gencives quand une impression bizarre se pointa.
Non rien à voir avec la fois où l'on a tiré une salve de chevrotine sur la voiture de notre connard de manager qui voulait se barrer avec la dope ni la fois où T à voulu se sauter la fille d'un groupe pour qui on devait (...SIC...) ouvrir, sur le bar de la salle de concert (elle n'était pas vraiment consentante, mais faut pas jouer avec le feux mignonne)...
Non rien de tout cela, je parle d'un truc bêtement mathématique (comme les effets additifs, multiplicatifs et addictifs par exemple), qui reflete au final les comportements ou interactions entre individus.
Vous savez comme lors de déclarations aux institus de veilles sanitaires des maladies infectieuses. Suivant le boulot l'age et le lieu on assimile des comportements et donc des interactions possible et donc un risque d'infections que l'on quantifie....
Alors nous, bon sang, on était là, déchiré jusqu'a la gueule, à en crever. D'ailleurs G allait pas trés bien et menacait d'ouvrir la cloison avec la putain de hache (les trucs rouge à incendie). Bref ça partait sévérement en quenouille, lorsque je regardait notre page à la con. Celle là, celle qu'a ouvert notre gentille et jolie attachée sur son joli laptop (comme elle dit si bien: LAPTOP).
Bordel de con je me mis à hurler en voyant ça. La défonce aidant, quelques actes violents envers le canapé (dans lequel la hache était maintenant plantée) devinrent necessaires. Notre manager ayant eu l'idée récente d'interdire notre arme à feu favorite dans les loges je me décidai à flamber ce repose fesse avec l'essence à zippo de J qui devait fumer un truc plus caustique qu'une marie jeanne à ce moment bien précis, les neurones frits dans des vapeurs acides.
Bref... Je sais plus trés bien ce qui s'est passé aprés.
Mais ce que j'avais vu resta gravé toute la nuit, planqué à l'arrière de la fourgonette la tête sur ce putain d'ampli. (Les prochains seront en fourrure ça c'est sur).
Donc au reveil on regarde sur un ordi, pour vérifier (le laptop de notre gentille attachée de presse étant HS depuis hier) et on compte... puis on recompte... tout les 5.... en choeurs.
Et la question vint d'elle même.
Comment ce fait-il qu'avec à l'heure actuelle avec 36 amis on n'a que 21 écoutes de nos foutus morceaux.
Putain on veut pas dire que les trucs qu'on prennent rendent parano mais là... on comprends pas.
Heureusement notre manager fin psychologue (pour calmer la tempète qui se préparait et C qui risquait de se taillader une fois de plus ces bon dieu d'avant bras) nous apporta la réponse la plus logique possible pour calmer nos esprits vifs.
Réponse approuvée à l'unanimité.
Nos amis sont sourds.
C'est pour ça qu'on doit les aimer encore plus.
Parcequ'ils/Vous nous aimez aveuglement.En quelque sorte.
Avant de me redémonter la gueule à me tuer, encore une fois la tronche sur ce foutu ampli aux lampes branlantes, une phrase me vint dans la boule neurone épargnée en sursis qui me restait...
"Ecoutez, ça n'a rien à voir..."
et ainsi de suite, loop à l'infini.
ça n'a rien à voir...
plus rien du tout.
-fin de transmission-

No comments:

Post a Comment